j'avais posté récemment que j'allais être contacté, à ma demande, par un membre du SRA
ce qui, maintenant, a été fait il y a quelques jours.
Sa réponse est claire : pour détecter il faut une autorisation de la préfecture et du propriétaire du terrain.
Pour une auto de la pref. il faut avoir un motif légitime et bien encadré, c'est-à-dire la recherche dans un périmètre précis, être déjà archéo, etc ... donc impossible à avoir.
A partir du moment où il y a un appareil de détection, il n'y a pas de fortuité possible puisque le son du détecteur fait que l'on creuse pour savoir ce que c'est, et c'est donc assimilé à une fouille.
Même si on se dit qu'on n'est pas sur un site archéo, histoire, etc..., rien ne dit que ce site n'en est pas un ; eux seuls ont la science infuse, savent où sont ces sites, mais ne les divulguent pas, cause confidentialité et pour éviter les pillages ;
Ils auraient peur qu'on leur prenne leur travail (c'est leur travail, pas le nôtre (SIC))
Je pense que mon interlocuteur est membre de l'*******, car il m'a rapidement parlé de délit, et conseillé d'aller à la pêche.
J'ai pris quelques renseignements sur lui, et je vous joins ci-dessous un lien le concernant, c'est de 2011, mais toujours d'actualité.
Dans cet article, il est même évoqué le lobbying des vendeurs de détecteurs ainsi que les forums, dont celui de D.net voir (à partir des pages 210)
https://www.academia.edu/20477829/D%C3% ... n%C3%A7ais
J'ai tout lu, et remarqué que ce qui les gêne particulièrement est la demande de certains de leur chercheurs aux UDMS pour identifier certains objets
et ça ne leur plaît pas du tout, ni le fait que des gendarmes ou policiers soient UDMS re
Tous les chercheurs CNRS, SRA et l'******* bien sûr bloquent tout essai de rapprochement avec les détectoristes, de peur de perdre leurs prérogatives de valorisation humaine individuelle, et financière bien sûr.
Les hommes naissent libres et égaux en droit. Après ils se démerdent.