Qui connais le latin
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Médaille - PRO OMNIBUS MORTUUS EST - pape Pie VII - EDIT MODÉRATION
- Identification d'objets ayant un caractère religieux.
Qui connais le latin
Google traduction ![:]](https://www.detecteur.net/forum/images/smilies/8.gif "Dan.San")
Je creuse, tu creuses, nous creusons...
Mes quelques cours de latin à l'ecole me permettent de dire que :
PRO OMNIBUS MORTUUS EST = il est mort pour tous
Mais pour le reste je passe la main
L'histoire est une suite de mensonges sur lesquels on est d'accord.
Médaille à mettre en rapport avec la visite du pape Pie VII à Paris de fin 1804 à avril 1805 pour le sacre de Napoléon 1er.
On pourrait traduire "SUMMUS PONTIFEX BENEDIXIT" par "le plus béni des souverains pontifs", même si la syntaxe est maladroite.
On pourrait traduire "SUMMUS PONTIFEX BENEDIXIT" par "le plus béni des souverains pontifs", même si la syntaxe est maladroite.
Bonjour,
chouette trouvaille
Et Identification rondement menée par Napoléon's lover et Dagon
Donc, comme tout est dit, je me contenterai de dire que c'est une médaille gravée par Jean-Théodore MAURISSET.
Il était graveur de médailles et graveur héraldique avec un brevet de graveur de la maison militaire du roi.
Né en 1768 à Paris, il y restera jusqu'à sa mort, à l'âge de 57 ans, en 1825.
On peut considérer qu'il a gravé des médailles entre +/- 1790 et 1825.
Quant à la médaille, on peut ajouter qu'elle avait une bélière inversée, mais pas par torsion, comme c'était souvent le cas au XIXe siècle. C'était une bélière rajoutée, soudée ou brasée sur la médaille.
chouette trouvaille
Et Identification rondement menée par Napoléon's lover et Dagon
Donc, comme tout est dit, je me contenterai de dire que c'est une médaille gravée par Jean-Théodore MAURISSET.
Il était graveur de médailles et graveur héraldique avec un brevet de graveur de la maison militaire du roi.
Né en 1768 à Paris, il y restera jusqu'à sa mort, à l'âge de 57 ans, en 1825.
On peut considérer qu'il a gravé des médailles entre +/- 1790 et 1825.
Quant à la médaille, on peut ajouter qu'elle avait une bélière inversée, mais pas par torsion, comme c'était souvent le cas au XIXe siècle. C'était une bélière rajoutée, soudée ou brasée sur la médaille.
