tzar malabar a écrit :fouduroi a écrit :
JOHANN CHRISTIAN REICH était médailliste, Il faisait des médailles pas des boutons.
_ Bonjour ...
ah bon !! .... et pourquoi pas ? .... qu'est-ce qui empêcherait un industriel graveur - tourneur/fraiseur qui fabrique des médailles , des jetons , et d'autres breloques probablement pour assurer le chiffre d'affaire , l'aurais priver d'une opportunité financière de frapper dans ses presses des boutons de plaisante facture comme celui-ci ?
Rien n'empêche rien.
Mais si l'on ne se pose jamais de questions on n'apprend rien.
Bien sûr qu'il pouvait faire des boutons, mais à part la trouvaille, je n'en ai pas vu d'autres (ce qui ne veut pas dire qu'il n'y en a pas d'autres).
Par ailleurs, sur toutes les médailles ou jetons de ce médailliste, son nom figure toujours au revers, pas sur l'avers, et c'est bien logique.
De même que sur tous les boutons, quelle qu'en soit l'origine, le nom du fabricant se trouve toujours au revers, ce qui semble tout aussi logique.
Ici on a un bouton, dont la fixation me semble bricolée et dont le revers ne présente aucun nom de fabricant, mais où le nom du médailliste figure sur l'avers , et pas discrètement en tout petit, mais de façon ostentatoire.
Alors si dans ce cas on ne se pose pas de questions, on ne le fera jamais.
Ou alors, ce bouton appartenait a Johann Christian Reich en personne, car j'imagine mal à l'époque, des gens ayant envie d'acheter des boutons servant de publicité au fabricant. Ce n'est pas parce qu'aujourd'hui les gens sont cons au point de payer cher des machins qui servent de pub au fabricant (Vuitton, Chevignon, ... ) que c'était le cas à l'époque.
Donc, oui, je me pose des questions et je cherche à comprendre.
