Detecteur.net

Salut à tous, je me demandé pourquoi les pièces de louis 16 étaient coupées en deux...
Car il a était décapité
Voici une monnaie que j'ai trouvé :

Je suppose que les français (François à l'époque) après la décapitation de louis xvi ont coupé ses pièces pour montrer que c'était une nouvelle page qui se tournée.
Dites moi ce que vous en pensé.

bonjour ,la monnaie était simplement coupée pour diviser sa valeur

Gabdetect a écrit : je me demandé pourquoi les pièces de louis 16 étaient coupées en deux...
Car il a était décapité
Je suppose que les français (François à l'époque) après la décapitation de louis xvi ont coupé ses pièces pour montrer que c'était une nouvelle page qui se tournée.

_ Bonjour ...
cela n'a rien à voir avec le fait que Louis Bourbon fut précipiter sous la veuve , si la monnaie est tranchée en deux c'est certainement pour une autre raison ...
Quand au terme "François" sous l'ancien régime , sache que cela n'est pas une généralité comme tu semble le concevoir , car chez-nous dans l'est de la France c'est bien le terme "Français" avec la terminaison A-I-S qui figurait sur les monnaies de Louis XVI frappées dans l'atelier de Strasbourg (Strasbvrg = les rues du bourg = la grande ville) .
Cette atelier de Strasbourg ayant pour lettre d'atelier = BB

Peut être qu'a l'époque le fait de couper une monnaie en deux leur donnaient l'impression d'être 2 fois plus riche

Peut être aussi un symbole ou symbolon en grec ancien qui venant du verbe symballesthaï signifiant « mettre ensemble », « apporter son écot », « comparer ». Un symbole était un objet cassé en deux partagé entre deux contractants, pour reconnaitre ce qui avait été prévu entre eux en rapprochant les morceaux qui devaient s'emboiter parfaitement de sorte que leur réunion, par un assemblage parfait, constituait une preuve de leur origine commune et donc un signe de reconnaissance très sûr. En quelques sorte un mot de passe. Mais ce n'est qu'une interprétation de ma part, dans mon imagination peut être les morceaux d'une pièce entre deux comploteurs royalistes ou révolutionnaires pour se reconnaitre