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Salut a tous juste un partage de ce plomb qui vient de l'ancêtre de la banque bnp d'après mes recherches, ça s'appelait le comptoir national d'escompte de Paris je vous met la petite histoire Le Comptoir national d'escompte de Paris (CNEP), une des banques ancêtres du groupe BNP Paribas, est créé par décret le 10 mars 1848. Cette création se fait, comme celle du Comptoir national d'escompte de Mulhouse au même moment, dans un contexte de révolution industrielle, de crise économique et de révolution bancaire (on parle de « Seconde révolution bancaire ») la seul question que j'ais : est ce que ça fermais des sac d'argent ? Par contre je suis déçu il etais plus beau mais juste un peut d'eau et ça a effacé un peut des lettres j'ais bien peur que les lettres s'efface toute seul au bout d'un moment et je n'ais pas de Polaroïd ou autre

Pas forcément, non !
Il faut bien imaginer qu'à l'époque, les transactions se faisaient sous forme papier, avec des documents en double, en triple, puis avec des feuille carbonées...
J'ai travaillé en banque jusque dans les années 96, dans une agence itinérante qui utilisait encore ce genre de documents avec autocollants numérotés en prime ( et oui, à l'époque ma signature valait de l'or... ) jusqu'à ce que l'invention des batteries permette l'utilisation des ordinateurs puis des imprimantes.
A l'époque, enfin pour les rares non numérisés, tout reposait sur des listings de N° de comptes avec leurs soldes en différés, et sur des types comme moi qui devaient mémoriser les milliers de N° de comptes de leurs clients et les consulter chaque matin pour se faire une idée des mouvements bancaires effectués hors de son agence.
Pour les jeunots, et pour se faire une idée, les caissières chez Aldi devaient apprendre par coeur les codes de chaque article vendu dans les magasins avant de pouvoir y bosser. Et là, je vous parles des années 2000... C'était pas passer des trucs à scanner devant un lecteur optique avec des fringues aussi débiles que raccords à leur dernière teinture multicolore par leur pote apprentie coiffeuse...
Les listings, tout comme chaque livraison de tous ces formulaires de dépôts, retraits, contrats et autres ( dont les poubelles, et oui aussi ) étaient plombées.
Les mouvements de fonds, eux, étaient vraisemblablement plus sécurisés et numérotés...

piragol a écrit : ↑04 avr. 2022, 21:05 Pas forcément, non !
Il faut bien imaginer qu'à l'époque, les transactions se faisaient sous forme papier, avec des documents en double, en triple, puis avec des feuille carbonées...
J'ai travaillé en banque jusque dans les années 96, dans une agence itinérante qui utilisait encore ce genre de documents avec autocollants numérotés en prime ( et oui, à l'époque ma signature valait de l'or... ) jusqu'à ce que l'invention des batteries permette l'utilisation des ordinateurs puis des imprimantes.
A l'époque, enfin pour les rares non numérisés, tout reposait sur des listings de N° de comptes avec leurs soldes en différés, et sur des types comme moi qui devaient mémoriser les milliers de N° de comptes de leurs clients et les consulter chaque matin pour se faire une idée des mouvements bancaires effectués hors de son agence.
Pour les jeunots, et pour se faire une idée, les caissières chez Aldi devaient apprendre par coeur les codes de chaque article vendu dans les magasins avant de pouvoir y bosser. Et là, je vous parles des années 2000... C'était pas passer des trucs à scanner devant un lecteur optique avec des fringues aussi débiles que raccords à leur dernière teinture multicolore par leur pote apprentie coiffeuse...
Les listings, tout comme chaque livraison de tous ces formulaires de dépôts, retraits, contrats et autres ( dont les poubelles, et oui aussi ) étaient plombées.
Les mouvements de fonds, eux, étaient vraisemblablement plus sécurisés et numérotés...

Salut, Merci beaucoup pour l'histoire très intéressante que tu nous propose , j'adore on croirais lire un livre sur l'histoire de la banque, du coup ordure ou pas je suis bien content c'est mon plombs préféré, et il a une histoire sympas

Bonjour, merci pour ces informations très intéressantes sur ce scellé.
Il n'y a pas de raison que les lettres s'effacent et je ne mettrais aucun produit dessus.
En voilà un autre:

On trouve assez souvent des scellés pour les banques, celui-ci n'est pas courant.

Mlesplombs a écrit : ↑06 avr. 2022, 17:29 Bonjour, merci pour ces informations très intéressantes sur ce scellé.
Il n'y a pas de raison que les lettres s'effacent et je ne mettrais aucun produit dessus.
En voilà un autre:

On trouve assez souvent des scellés pour les banques, celui-ci n'est pas courant.

Salut, je suis content que l'expert de plombs me dise qu'il est pas courant merci

piragol a écrit : ↑04 avr. 2022, 21:05 Pas forcément, non !
Il faut bien imaginer qu'à l'époque, les transactions se faisaient sous forme papier, avec des documents en double, en triple, puis avec des feuille carbonées...
J'ai travaillé en banque jusque dans les années 96, dans une agence itinérante qui utilisait encore ce genre de documents avec autocollants numérotés en prime ( et oui, à l'époque ma signature valait de l'or... ) jusqu'à ce que l'invention des batteries permette l'utilisation des ordinateurs puis des imprimantes.
A l'époque, enfin pour les rares non numérisés, tout reposait sur des listings de N° de comptes avec leurs soldes en différés, et sur des types comme moi qui devaient mémoriser les milliers de N° de comptes de leurs clients et les consulter chaque matin pour se faire une idée des mouvements bancaires effectués hors de son agence.
Pour les jeunots, et pour se faire une idée, les caissières chez Aldi devaient apprendre par coeur les codes de chaque article vendu dans les magasins avant de pouvoir y bosser. Et là, je vous parles des années 2000... C'était pas passer des trucs à scanner devant un lecteur optique avec des fringues aussi débiles que raccords à leur dernière teinture multicolore par leur pote apprentie coiffeuse...
Les listings, tout comme chaque livraison de tous ces formulaires de dépôts, retraits, contrats et autres ( dont les poubelles, et oui aussi ) étaient plombées.
Les mouvements de fonds, eux, étaient vraisemblablement plus sécurisés et numérotés...

Merci c'est passionnant ce retour d expérience