Detecteur.net

Bonjour à tous,

Lors de ma dernière sortie, un Monsieur qui a vu mon matériel à l'arrière du C15 m'a demandé si je pouvais lui retrouver la chevalière de son grand-père, perdue 50 ans plus tôt, à un endroit bien précis d'un terrain familial. Comme j'ai accepté sans contre partie, il m'a confié sur ce même terrain, il y avait une borne d'octroi, prise dans une friche. Sur le coup je n'ai pas trop compris, mais il m'a expliqué qu'à cet endroit sous Napoléon voire avant, il y avait un croisement de chemins et que l'octroi était le péage de l'époque. Pour lui, vu que cet endroit était un lieu de monnaye, il pense qu'il y a de quoi faire. Je lui ai répondu que si le lieux était connu, un déctoriste avait dû se faire plaisir. Il m'a dit que l'endroit est connu que de sa famille et il habite à cet endroit depuis plus de 60 ans, donc il semble que le lieux soit propice à quelques trouvailles sympas. J'ai programmé mon expédition dans quinze jours.
J'ai recherché sur internet des infos sur ce qu'était réellement un 'octroi à cete époque mais je n'ai rien trouvé. HELP...Si vous avez déjà prospecté sur ce type d'endroit, merci pour vos conseils, A++++++++++++++++

Pas grave Dan, je vais faire ma sortie détection, on verra au final.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Octroi" onclick="window.open(this.href);return false;

BigFoot a écrit :http://fr.wikipedia.org/wiki/Octroi

Merci BigFoot pour le lien. Y'a plus qu'à...

salut pas mal ton plan détection bon courage et :caca: pour ta journée !
Ps: tiens nous au courant si tu as retrouver la chevalière

Pas de problème, si la sortie est bonne, compte rendu et photos seront publiés sur le forum

SLT collegue
deja si c est octroi quil y as de marque sur la borne c est surement d avant napoleon surement du 17 siecle a peut pret donc y as du louis etc
trouve la direction des deux chemins et genre a 100m de la borne la ou ils sortaient leur pieces pour compter y en as c est sur
sinon je suis expert en chevaliere si y as besoin d un coup de pioche non je rigole
belle sortie en perspective

dan 83 a écrit :Salut Seresse, désolé, mais je n'ai jamais prospecter sur ce genre d'endroit

bonjour seresse, sympa ton truc, tu risque rien de toute maniere, l'octroi etais à l'epoque comme une sorte de douanes, beaucoup de mouvement et transactions passer par la. bonne chance.

moi, je serai une madame je me méfierai des monsieur qui me disent de les suivre pour X raisons surtout, si je ne les connais pas et encore moins, si je les connais
Un coin comme ça, si personne n'a œuvré avant, ça doit être Je te souhaite ou je vous souhaite madame plein de bons BIP BIP

NARFOUILLE58 a écrit :SLT collegue
deja si c est octroi quil y as de marque sur la borne c est surement d avant napoleon surement du 17 siecle a peut pret donc y as du louis etc
trouve la direction des deux chemins et genre a 100m de la borne la ou ils sortaient leur pieces pour compter y en as c est sur
sinon je suis expert en chevaliere si y as besoin d un coup de pioche non je rigole
belle sortie en perspective

Salut collègue...
Merci pour tes conseils, à voir samedi prochain si je peux en claquer une ou deux, ce serait le top d'autant plus que le terrain n'a jamais été labouré.
J'ai vu que la sortie de ce jour avec J... a été plutôt sympa.

dany le grand 31 a écrit : moi, je serai une madame je me méfierai des monsieur qui me disent de les suivre pour X raisons surtout, si je ne les connais pas et encore moins, si je les connais
Un coin comme ça, si personne n'a œuvré avant, ça doit être Je te souhaite ou je vous souhaite madame plein de bons BIP BIP

T'inquiète Dany, je suis équipée "bombe lacrymo, pelle? ..." LOL...
D'après NARFOUILLE ça pourrait remonter au 17ème, car le gars m'a dit que lorsque qu'il était gamin une borne en pierre indiquait OCTROI, elle a ensuite été remplacée par un simple poteau
A VOIR, résultats jour J-7...

SLT
j oubliait celza peut aussi etre une histoire de templier mais si y as pas de pont ou d ouvrage templier proche suremenbt pas
pour resume octroi ca sent le louis a pleine narines

c'est un terrain qui doit avoir une multitude d'objet variés
Mais n'oublie pas que tout ce que tu trouveras, le propriétaire est en droit de le garder !
Si c'est le cas, demande au moin que tu puisse faire des photos et même faire une autorisation part écrit sa peut rendre service au cas où !....

raphafa43 a écrit : c'est un terrain qui doit avoir une multitude d'objet variés
Mais n'oublie pas que tout ce que tu trouveras, le propriétaire est en droit de le garder !
Si c'est le cas, demande au moin que tu puisse faire des photos et même faire une autorisation part écrit sa peut rendre service au cas où !....

Merci raphapha pour ta mise en garde. Je m'y suis préparée.
Le gars ce qu'il veut c'est pouvoir retrouver la chevalière de son aïeul. Si je peux déjà lui sortir, ça peut être un bon moyen de négocier la suite.
Je dois le recontacter cette semaine pour cadrer la sortie. J'en profiterai pour connaître ses intentions quant à la suite des trouvailles. De toute façon il en connait un rayon sur l'histoire de son bled, et au vu de ce que j'ai entendu j'ai d'autres pistes qui peuvent s'avérer sympas, reste à trouver le temps pour prospecter, les semaines sont chargées en taf depuis la rentrée, et je suis un peu frustrée d'être enfermée.

bonsoir je langui de voir le résultat de ta sorties !!
tu nous met l'eau a la bouche et tu as bien raison les anciens regorge de secret d'histoire qui dans une oreille attentive peut etre trés gratifiant!

salut je me demandé ou en était ta sortie ? merci a ++

clou rouillé a écrit :salut je me demandé ou en était ta sortie ? merci a ++

+1

Octroi
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L’octroi est une contribution indirecte perçue autrefois par les municipalités à l'importation de marchandises sur leur territoire. Cette taxe frappait les marchandises les plus basiques et les plus rentables telles que le vin, l'huile, le sucre, le café, etc. Il est signalé dès le XIIe siècle à Paris et servait à financer l'entretien des fortifications et les travaux d'utilité publique.

Ce terme désigne également l'administration chargée de prélever cette taxe. Elle contrôlait chaque porte de la ville à l'aide de barrières souvent disposées entre des pavillons symétriques.
Sommaire
[masquer]

* 1 En France
o 1.1 Le mur des Fermiers généraux
o 1.2 Un employé célèbre de l'Octroi
* 2 En Belgique
* 3 Liens internes

En France [modifier]

Sous l'Ancien Régime, il formait l'une des Cinq Grosses Fermes.

* Le roi Louis XVI fait ériger 57 barrières d'Octroi autour de Paris (1785).

* En 1789, la sévérité accrue de cet octroi est l'une des causes de la Révolution quelques jours avant la prise de la Bastille les insurgés ont mis le feu aux barrières de l'Octroi.

* L'Assemblée constituante les supprime le 20 janvier 1791.

* Le Directoire les rétablit le 18 octobre 1798.

* La suppression des barrières de l'Octroi a été promise à plusieurs reprises en 1815, 1847 (par Horace Émile Say économiste français de l'école libérale) et 1869.

* Les guinguettes hors des limites de l'Octroi de Paris ne payent pas de droits et prospèrent durant la première moitié du XIXe siècle.

* En 1860, l'annexion des communes suburbaines fait que la limite de l'Octroi de Paris est repoussé aux limites des fortifications.

* En 1897, une loi votée par les députés permet aux maires de supprimer l'octroi, mais sans compensation pour les municipalités qui ne renoncèrent pas à cette taxe.

* Durant la Seconde Guerre mondiale, l'Octroi accroissait encore plus les difficultés d'approvisionnement des denrées pour les parisiens. Il fut supprimé définitivement par la loi n° 379 du 2 juillet 1943 portant suppression de l'octroi à la date du 1er août du gouvernement Pierre Laval.

Cet impôt a survécu dans les départements d'outre-mer, où il est connu sous le nom d'octroi de mer.
Le mur des Fermiers généraux [modifier]
Article détaillé : Mur des Fermiers généraux.

L'architecte néoclassique Claude Nicolas Ledoux est l'auteur de nombreux pavillons d'octroi le long du mur des Fermiers généraux à Paris (1785). Certains sont encore visibles :

* la barrière du Trône à la porte de Vincennes. Elle devient la barrière du Trône renversé à la Révolution ;
* la barrière de la Villette ;
* la barrière de Passy.

Ledoux réussit si bien à clore la capitale que Beaumarchais lui dédia un petit dizain :

« Le mur murant Paris
Rend Paris, murmurant... »

Aux barrières, se fixaient nombre de petits trafics : contrebande (via les bois de Boulogne et de Vincennes), vente de vin à emporter mais surtout à consommer dans des guinguettes ou des cabanons, prostitution, armes, etc. Ils attiraient toute une foule : clients, simples badauds, cabaretiers, voyous (devenus plus tard les Apaches), agents de surveillance, etc. De plus de nombreux relégués, qui n'avaient plus le droit d'entrer dans Paris, y avaient quasiment élu domicile (voir à ce sujet le film Casque d'or).
Un employé célèbre de l'Octroi [modifier]

* Il y eut de nombreux employés à l'Octroi de Paris. Le plus célèbre fut le mayennais Henri Rousseau, qui fut commis de deuxième classe de l'Octroi, et fut surnommé par dérision le « douanier Rousseau ».

En Belgique [modifier]
Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !

L'octroi fut supprimé en Belgique en 1860.
Liens internes [modifier]

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Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Octroi.

* Portes de Bruxelles
* Portes de Paris
* Mur des Fermiers généraux
* Horace Émile Say et son plaidoyer pour la suppression de l'octroi de Paris en 1847

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ça annonce une belle sortie je pense vivement les photos

trouvé sur le net dans un autre forum
bonne lecture

Anciennement, les souverains fixaient, par des ordonnances monétaires, le nombre de monnaies à produire dans une masse de métal (la taille), celle-ci étant généralement la livre ou le marc.
On taillait donc un nombre déterminé de pièces dans une quantité donnée de métal en admettant une tolérance de masse (marge d'erreur admise) entre les monnaies produites et la masse théorique prescrite dans l'ordonnance monétaire.
cela impliquait, pour le personnel des ateliers monétaires, la vérification de la masse des espèces qui ne pouvaient être ni trop lourdes, ni trop légères.
D'autre part, les banquiers, les changeurs, les commerçants, les fonctionnaires et tous ceux qui manipulaient la monnaie savaient très bien que la valeur d'échange d'une pièce dépendait essentiellement de sa masse et de son titre.
Mais celle-ci pouvait facilement être altérée par le frai (usure de la monnaie résultant de sa circulation) ou par la pratique du rognage (opération frauduleuse qui consiste à limer le pourtour d'une monnaie afin de récupérer un peu de métal).
Plus tard, pour éliminer le rognage, les monnaies porteront une tranche inscrite ou gravée d'un motif quelconque permettant à l'utilisateur de se rendre compte immédiatement de la fraude en constatant une tranche intacte ou endommagée.
Il était donc nécessaire de pouvoir disposer de poids étalonnés pour peser les pièces de monnaie.
Il aurait été impossible d'utiliser des poids aux divisions pondérales ordinaires (par exemple: une série de poids allant du grain jusqu'à l'once) puisque la masse d'une monnaie ne correspond pas à une valeur ronde, une manipulation de plusieurs poids aurait été indispensable pour la pesée.
Par souci de facilité et de rapidité, nos ancêtres ont créé des poids spéciaux, appelés poids monétaires ou dénéraux.
Chacun d'eux pèse la masse exacte d'une monnaie bien déterminée et ils peuvent se distinguer les uns des autres par des poinçons différents.
La fabrication des dénéraux, véritables étalons monétaires, était sévèrement règlementée.
Elle était l'apanage des ajusteurs-jurés qui étaient tenus de poinçonner leurs produits.
Les poids monétaires, fabriqués en cuivre ou en laiton, sont ronds, carrés, rectangulaires, hexagonaux, octogonaux, quelques fois en forme de trapèze.
Ils portent sur une face le dessin de la monnaie qu'ils sont censés représenter, accompagné parfois du nom entier ou abrégé de celle-ci.
Dans certains cas, les initiales du souverain régnant accostent le dessin.
L'autre face montre un symbole (dans les Pays-Bas méridionaux, souvent celui de la ville) entouré par les initiales de l'ajusteur.
Pour certains poids étrangers, la seconde face montre tantôt la masse de la pièce exprimé le plus souvent en grains et deniers, tantôt la valeur en monnaie de compte, tantôt le nom de la monnaie.
Espagne: 4 réaux = 10 deniers 16 grains ( 4R XD XVIG ).
Après la révolution française, on voit apparaitre des poids monétaires adaptés au système métrique décimal afin de permettre la pesée des nouvelles monnaies fabriquées selon les concepts de ce système.
Mais la technique monétaire évolue.
Le perfectionnement des procédés de fabrication des pièces de monnaie réduit considérablement les risques de frai et de rognage.
L'usage de peser les pièces devient obsolète avec cette évolution technique.
Il disparait totalement vers le milieu du XIXème siècle.
L'étude des dénéraux est récente. C'est seulement en 1858, pour la première fois, qu'il fut consacré une notice d'une dizaine de pages sur le sujet.
Depuis lors, divers auteurs ont fait paraître de nombreux articles mais, malgré tout, il subsiste encore de nombreuses inconnues.
A+

salut je reviens un peu aux nouvelles alors tu as pu retrouver le bijoux perdu ? as tu pu detecter au alentour de l'octroi ?
Merci

SORRY SORRY SORRY, j'avais oublié de consulter mes posts
Donc la sortie a bien eu lieu, et j'étais accompagnée de mon coéquipier. L'endroit indiqué pour la bague perdue, n'était pas bien pratiquable. Herbes hautes, pont métallique, etc. On doit se revoir en hiver quand le gel aura fait son travail pour cadriller à deux.

Quant à la borne d'octroi, elle est bien présente mais prise dans des ronces, arbustes, le lieux doit être dégagé, idem à faire en hiver. Sinon autour il y a eu des constructions récentes, donc pas question de prospecter dans les jardins. Par contre, il s'agit d'une ancienne carrière, donc là on pourrait remonter à beaucoup plus loin, historiquement parlant.
Sinon lors de cette sortie, commencée infructueuse, ce monsieur nous a informé que 25 ans plus tôt il avait perdu son alliance, vers cette carrière, et il a pu nous situer l'endroit. Mon déus n'étant pas allumé, j'ai demandé à mon coéquipier s'il pouvait balayer la zone, et là, véridique, en trois mouvements "droite/gauche/droite" le garrett accroche une cible. Au vu des indications, on pense à une capsule de bouteille et bien non, bingo, l'alliance. Le gars était super ému. Du coup, comme j'avais pris mon numérique, j'ai immortalisé l'instant, photos sympas à la clé.
Le gars devait retourner bosser, nous lui avons demandé si nous pouvions faire de la prospection dans les champs avoisinant sa propriété. Il n'y a pas vu d'objection mais nous a informé qu'il n'était pas le proprio. Du coup on s'est fait un champ à 500 mètres et nous avons sorti des napoléon "un dizaine", une pièce en argent et boutons militaires.
Il semble que ce champ est été un camp. Il est semé donc, dès qu'il sera retourné et lissé on y retourne.
JE VOUS TIENS INFORME DES SUITES DANS L'hiver BIZZZZ

cool merci pour l'histoire il devait etre au ange !!
tiens nous au courant pour la suite

Jolie petite histoire et un heureux grâce à vous!.. Bravo!

clou rouillé a écrit :cool merci pour l'histoire il devait etre au ange !!
tiens nous au courant pour la suite

Pas de problème, la sortie est en sommeil. Début janvier, une semaine de vacances, ça devrait le faire. A+++++++++++++

Octroi
Le terme « Octroi » vient d’octroyer qui signifie accorder : La ville octroie (accorde) l'entrée de marchandises en échange d'une taxe.
Cet impôt existait déjà chez les Romains.
En France, il apparait au XIIIème siècle et est aboli en 1791; pour ensuite être réinstauré sous le Directoire et devenir généralisé au XIXème siècle, il restera en usage à certains endroits jusqu'à la moitié de la guerre 39/45.

Jeton d’octroi
Au XIXème siècle on appelait jetons d'octroi, les jetons en alu (précurseurs des tickets) donnant accès aux tramways.

La maison de l'octroi.
C'était le lieu où les droits devaient être versés.
Elle était généralement à une entrée de la ville ou de la commune ou alors à un endroit de passage obligé.

Les bornes d'octroi.
Elles étaient placées sur les routes, et indiquaient les limites de la commune. C'est à dire la limite au-delà de laquelle les droits d'entrées de certaines marchandises devaient avoir été payés.
Elles mentionnaient d'ailleurs souvent "Limite de l'octroi", mais pas systématiquement.

La différence entre une borne d'octroi et la maison de l'octroi est la même que celle qui existe entre la frontière (ligne virtuelle parfois indiquée par des bornes) et la douane (lieu bien réel par lequel on est supposé passer si l'on a des choses à déclarer et des taxes à payer).

Conclusion
Cela veut dire, que la borne en question n'est pas un endroit où l'on risquait de perdre de la monnaie, en tout cas, ni plus ni moins que sur n'importe quelle route.


Mais, s’il y a une borne, au moins, on sait qu'il y avait une route.


Bonne recherche et bonne journée.

Sorry, j'ai commis une erreur en plaçant 2 fois la même image.
Voici celle qui devait venir en second lieu.

Juste en passant à propos des petits trafics qui se faisaient autour des octrois, de là est né sans doute le terme de "voyou de barrières" qui désigne des petits délinquants minables. Expression détournée par ce bon Georges dans "Les amours d'antan" en "Vénus de barrières"..

Et pourtant, il y avait un ou plutôt une garde-barrière.
J'ai bien connu son papa, il s'appelait Georges Clemenceau.
Ben oui, quoi! Le père de la victoire.
Et Victoire ... et bien, ne dit-on pas:" ... la Victoire en chantant nous ouvre la barrière ..."

UP

TITI.81 a écrit : UP

Bien d'accord avec cet "UP".

On veut savoir la suite !!

Bref, deux ans après

Greg'z a écrit :Bref, deux ans après

Mieux vaut tard que jamais..