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Re: réponse JACK LANG

MessagePublié :20 oct. 2010, 17:22
par raphafa43
galoupi a écrit :"
Je pense aussi qu'une collaboration archéos-prospecteurs serait profitable pour tous avec une "éducation" des 2 cotés...
A +
Galoupi
+1 :super:

Re: réponse JACK LANG

MessagePublié :20 oct. 2010, 17:28
par Theophilus
RON a écrit :
Theophilus a écrit :
Philippe (72) a écrit :Bonjour,

Il n'empêche que les objets archéologiques trouvés en détection ne sont pas déclarés ce qui gêne bien sûr la recherche scientifique. Et c'est une véritable plaie pour appréhender certains aspects de l'occupation d'un territoire.
C'est un point non négligeable pour qui s'intéresse à l'histoire d'un secteur géographique donné où très souvent c'est la prospection qui amène les éléments de la connaissance.
Bonne journée.
Bon comme je n'ai pas eu ma réponse à ma question sur l'autre sujet, je vais reformuler ...

Aucun soucis pour déclarer toutes mes trouvailles à la seule condition d'avoir un écrit stipulant qu'il n'y aura aucune procédure judiciaire engagée à mon encontre. Est-ce possible ?
donne moi une bonne raison ...que des " instances " veulent te donner un "ecrit "..; moi j'en voie pas ... et je connais la réponse ( si vous avez peur d'avoir des procédures judiciaire aux derche .. paceque vous voulez déclarer des trouvailles .. vous arrêtez la detection !!!!! il ne sont pas demandeur ..eux .. bien au contraire .. et un.... détectoplasme en moins..... un !!
RON tu continues à me fatiguer et je reste poli. Chacune de tes interventions me paraisse n'avoir qu'un objectif, faire perdurer l'absence de coopération entre eux et nous. J'ai mon petit avis sur l'intérêt de ton action ...

Le mot "détectoplasme" s'adresse-t-il à moi ???

Re: réponse JACK LANG

MessagePublié :20 oct. 2010, 17:28
par Philippe (72)
Bonjour,

On ne parle pas de la même chose. Je fais juste le parallèle prospection pédestre/détection.
On peut certes regretter ce décapage, mais il est vrai qu'il s'agit ici de fouilles de couches stratigraphiques. Et cette première couche n'est pas une priorité si le temps est compté ( ce qui est très souvent le cas).
Ma remarque portait surtout sur une autre forme d'archéologie; non pas celle qui fouille un site mais celle qui prospecte une surface. La recherche est différente et permet d'obtenir d'autres indices que ceux produits par la fouille.
Bonne soirée.

Re: réponse JACK LANG

MessagePublié :20 oct. 2010, 17:41
par galoupi
Je pense que ce que tu fais avec ta prospection visuelle(j'imagine que tu ne ramasses pas les artéfacts) est intéressante et contribue à faire avancer la recherche historique localement. Ce que nous faisons avec notre loisir de prospecteurs, au detecteur, peut être complémentaire et utile pour la recherche scientifique également. Il y a certainement des pistes à étudier.
Bonne soirée, Galoupi

Re: réponse JACK LANG

MessagePublié :20 oct. 2010, 18:03
par Philippe (72)
Bonjour,

En prospection visuelle, on ramasse aussi. Cela permet de faire des comptages, des dessins, des classification, des statistiques, etc.
Pour ceux que cela intéresse, il existe un excellent ouvrage sur la Bretagne : Grenville Astill et Wendy Davies, Un paysage breton, De l'archéologie à l'histoire dans le sud de la Haute Bretagne, CeRAA, 2001. Ces chercheurs ont travaillé sur une région en prospectant les champs et en ramassant tout le mobilier depuis la protohistoire jusqu'au 20ème siècle. Ils ont également travaillé sur les fouilles, sur les archives et sur l'architecture rurale. Et à partir des récoltes de matériel dans les champs, ils ont tiré certaines conclusions sur les pratiques agricoles comme les amendements, sur l'évolution de l'habitat, sur l'utilisation et la gestion des déchets, etc.
Voilà donc tout l'intérêt de cette autre forme d'archéologie qui permet d'approcher autrement les découvertes et surtout de pouvoir faire avancer la connaissance sur les espaces ruraux.
Bonne soirée.

Re: réponse JACK LANG

MessagePublié :20 oct. 2010, 18:08
par papy57
Si je lis bien :
Dernière modification effectuée le 17 décembre 2004 . Cette loi , étant applicable , ne donne plus lieu à nouvelle mise à jour .
Donc , ils ne peuvent plus la toucher .




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Accueil > Travaux parlementaires > Projets / Propositions de lois > Dossier
Contrôle de l'application de la loi relative à l'utilisation des détecteurs de métaux Le contrôle de l'application des lois
Ce contrôle consiste à recenser très régulièrement les lois votées mais qui ne peuvent être mises en application faute de textes d'application effectivement pris par le Gouvernement
Loi n° 89-900 du 18/12/1989 parue au JO du 19/12/1989
Etat d'application de la loi
Toutes les mesures réglementaires prévues par cette loi ont été prises par le Gouvernement.

Dernière modification effectuée le 17 décembre 2004.
Cette loi, étant applicable, ne donne plus lieu à nouvelle mise à jour.
Mesures réglementaires prises par le Gouvernement
Article 5
Objet : conditions d'agrément des associations

décret en Conseil d'Etat n° 91-787 du 19/08/1991 publié au JO du 20/08/1991 Décret pris pour l'application de l'article 4 bis de la loi n°80-532 du 15 juillet 1980 relative à la protection des collections publiques contre les actes de malveillance et de la loi n°89-900 du 18 décembre 1989 relative à l'utilisation des détecteurs de métaux
Article 6
Objet : conditions d'application des articles 1 et 2 de la loi

décret en Conseil d'Etat n° 91-787 du 19/08/1991 publié au JO du 20/08/1991 Décret pris pour l'application de l'article 4 bis de la loi n°80-532

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Re: réponse JACK LANG

MessagePublié :21 oct. 2010, 06:51
par Leverseau
merci les amis ,ca nous rassure :gene:

Re: réponse JACK LANG

MessagePublié :21 oct. 2010, 20:30
par Radibaba
Pour instaurer un "Treasure Act" à la française, il faudrait d'abord qu'on se mette TOUS d'accord pour noter précisément dans un fichier nos découvertes (éventuelles) intéressant l'art, l'histoire et l'archéologie, qu'on soit capables aussi de savoir quand une déclaration s'impose, et qu'on ne retourne sous aucun prétexte à un endroit qui donne beaucoup d'éléments de la même période (ex : 2 monnaies romaines + une fibule + des tuiles en surface).

Et là, oui, on finirait peut-être par obtenir la même liberté, sous conditions, qu'en Angleterre :super:
Ca imposerait seulement un minimum d'éthique, un minimum d'accueil cordial de la part des autorités, et un minimum de 5 minutes après chaque sortie pour faire le point, noter tout ça et déclarer s'il y a lieu. Si c'était informatisé et facilité, alors là ce serait le top, et le chercheur aurait accès à une base de données fabuleuse d'objets isolés et de nouveaux sites potentiels. Reste à développer l'éthique, et c'est pas franchement gagné partout :|

La recherche a tout à y gagner, mais on doit aussi de notre côté être "aware" (spéciale dédicace à JCVD !), sinon, ben, une certaine quantité d'infos est perdue, et on se met à dos tout archéo qui veut bien faire son boulot et qui nous prend souvent pour des "persona non grata" au premier abord.

Pour revenir au sujet, cette réponse de 2003 semblait aller dans le bon sens. Notez l'imparfait dans ma phrase... Aujourd'hui, ce serait plutôt "tout le monde arrête de détecter, quelques-uns vont dans l'archéo pur et dur et le reste, ben le reste on l'ignore", ce qui est évidemment très mauvais, à la fois pour nous, parce qu'on a peu de moyens de prouver notre bonne foi et que le dernier mot reviendra à l'administration, et aussi pour les chercheurs parce qu'ils y perdront des auxiliaires occasionnels.

Amitiés,
Sylvain