Forum des particuliers sur le détecteur de métaux et la détection de loisir 

  • Semis pour Tibere

  • vous avez obligation de déclarer tout objet archéologique découvert fortuitement avant de le publier
vous avez obligation de déclarer tout objet archéologique découvert fortuitement avant de le publier
Règles du forum : Je vous rappelle qu il est interdit de poster du mobilier antique sur le forum pour les périodes gauloises,romaines mérovingiennes et carolingiennes de même que des monnaies en or de ces mêmes époques. Les videos montrant la sortie de dépôt monétaire,qui même si cela peut paraitre sympathique,le sont tout autant. Exhiber ce genre de trouvailles sur un forum public le place directement sous le coup de la loi pour incitation au pillage
je vous demande donc de la retenue s'il vous plait.Chacun est responsable de ses actes en son âme et conscience;pour l instant et dans le contexte actuel je ne souhaite pas que vous montriez vos trouvailles pour cette période merci.Votre responsabilité est pleine et entière.La loi est très délicate mais certains de vous sont dans la totale illégalité.

De plus ce forum n'est pas un téléphone portable!
Merci de ne pas y poster des messages avec une écriture sms.

 #1542241  par meca34
 
Niko17620 a écrit : Ma question est : est ce un quadran ou un semis ?

Semis - Tibère ROM ET AVG, frappe sous Auguste, atelier de Lyon => https://www.google.com/search?q=Semis+- ... 0&dpr=1.25

Sur certaines pages du lien donné il est parfois possible de lire ceci :


"Le semis semble plus rare que l'as. Les exemplaires en orichalque, donc un métal qui brille comme de l'or, sont peu communs. Ils ont circulé moins longtemps que les as et ne sont en général pas contremarqués.

Le monnayage à l’autel de Lyon, comprenant de rares sesterces, des dupondii et des as, ainsi que des semis et des quadrans, est traditionnellement rangé dans le monnayage impérial par l’école anglo-saxonne ainsi que par J.-B. Giard. Il était classé au XIXe siècle aux gauloises (cf. E. Muret et M. A. Chabouillet, BN 4691-4786 et H. de La Tour, LT. 4693, 4744 et 4771). En réalité, ce monnayage s’inscrit dans la tradition commencée une trentaine d’années plus tôt à Narbonne, Lyon, Vienne et Orange, continuée ensuite par Nîmes. Le choix des auteurs du Roman Provincial Coinage de ne pas les avoir inclus dans leur corpus peut paraître arbitraire. Ce monnayage, fort complexe, constitue une extension du monnayage colonial et sa permanence dans la circulation dans l’Occident romain (et la Gaule en particulier) montre l’importance du nouvel atelier dans l’Empire. À côté des émissions officielles, nous avons de nombreuses imitations “gauloises” de ce type qui a connu une longévité et un succès inégalés.

Ce Semis est parfois présenté sous la dénomination de Quadrans par des maisons d'enchères.
"

La dernière ligne semble très explicite . . . .


Un simple avis de néophyte