Jct87 a écrit :Salut et tout dépend des arbres qui compose le bois c est différent j ai l exemple sur des bois de châtaignier l épaisseur d humus est impressionnante alors que le bois juste de l autre côté du chemin c est du chêne il y a tres peu d humus d ailleurs dans ce bois de chêne une romaine juste sous les feuilles, dans un autre mixte mais avec plus d arbres a grosse feuilles, chênes américain et châtaigniers les objets sont profond une romaine a 25 cm, bon un sesterce sinon je l aurai pas eu. d ailleurs j attend le golden pour y retourner avec une fréquence plus basse, le c scope plafonne j ai aucun son je ne doit pas passer la couche de feuilles en décomposition
C'est pas faux ! on reconnait d'un point de vue agronomique et ecologique trois types principaux d'humus, le Mor, le moder, le Mull ! chacun se développe en fonction d'un climat, d'un type de roche mère et d'une typologie de végétation les trois étant en interrelations et tendant à converger à un équilibre !
Le mor se caractérise par un sol acide, un climat plutôt froid et une bonne humidité du sol en période hiverna!e. La couche d'humus est consequente, mais surtout pour ce qui nous intérresse en détection le mor se caractérise par un horizons (une couche) de débris végétaux , litière, qui penne à se transformer un humus, donc une couche souvent très importante de couleur noire et souvent amorphe !
Les horizons ou couches inférieurs se caractérisent par un très fort léssivage des humus et des particules fines du sol (argile) c'est un horizon sableux très acide !
Autant dire que dans ce type de sol vous ne trouverez que des artefacts complétement savo, rincé, détruit !
C'est surtout dans les terres à mull que l'on fera les plus belles découvertes, en effet, les mulls se caractérisent par un fort turn over de la litière végétal et de l'humus qui se minéralise très vite ! Ce sont donc les terres qui ont été le plus utilisé pour les cultures et où on y a perdu le plus d'objets !