Forum des particuliers sur le détecteur de métaux et la détection de loisir 

  • Sortie détection de loisir du 04/12/2015 dans les Alpes-de-Haute-Provence

  • Vidéos et photos de vos sorties de détection.
Vidéos et photos de vos sorties de détection.
Règles du forum : Je vous rappelle qu il est interdit de poster du mobilier antique sur le forum pour les périodes gauloises,romaines mérovingiennes et carolingiennes.Les vidéos montrant la sortie de dépôt monétaire,qui même si ça peut paraitre sympathique,le sont tout autant.Exhiber ce genre de trouvailles sur un forum public le place directement sous le coup de la loi pour incitation au pillage
je vous demande donc de la retenue s'il vous plait.Chacun est responsable de ses actes en son âme et conscience;pour l instant et dans le contexte actuel je ne souhaite pas que vous montriez vos trouvailles pour cette période merci.Votre responsabilité est pleine et entière.La loi est très délicate mais certains de vous sont dans la totale illégalité.

De plus ce forum n'est pas un téléphone portable!
Merci de ne pas y poster des messages avec une écriture sms.

 #1068216  par JPR
 
Bonjour à toutes et à tous :)

Balade et détection de loisir du 04 décembre 2015 dans les Alpes-de-Haute-Provence, avec un ami.

Menu des trouvailles du jour : des *erdouille* laissées par des personnes sans gêne, un bouton militaire, un morceau de bijou avec une pierre (ou du verre) serti et quatre monnaies.


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=> Une Napoléon III tête nue de 10 centimes de 1853 :


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Monnaies du Second Empire ( 1852-1870 )

Historique :
Charles Louis Napoléon Bonaparte, dit Louis-Napoléon Bonaparte, puis Napoléon III, est né à Paris, le 20 avril 1808 et mort à Chislehurst au Royaume-Uni, le 9 janvier 1873. Il est le premier président de la République française, élu le 10 décembre 1848 au suffrage universel masculin, avant d'être proclamé empereur des Français le 2 décembre 1852 sous le nom de Napoléon III.
Troisième fils de Louis Bonaparte, roi de Hollande, et d'Hortense de Beauharnais, il naît prince français et prince de Hollande : neveu de l'empereur Napoléon Ier il est à la fois neveu et petit-fils de l'impératrice Joséphine (sa grand-mère maternelle).

Commentaires à propos de ce type monétaire :
La frappe des 10ct débute le 2 décembre 1852 à Paris, jour de la prise de pouvoir de l'Empereur. Cette fabrication avait été prévue par la Loi du 6 mai 1852 ce qui explique que les coins soient prêts. Les exemplaires superbes en 5ct et 10ct sont rares du fait de la longue utilisation de cette petite monnaie qui change plus souvent de main. Seules les pièces de un et deux centimes se rencontrent souvent en très bon état.

Globalement :
Pour la 10 centimes Napoléon III, cela représente :
- 42 types monétaires ( années et ateliers de gravure )
- 258.956.737 monnaies produites de 1852 à 1857
- 25.895.674 francs

Ateliers de frappe et nombre de types monétaire ( années ) :
Ces monnaies étaient frappées à : A Paris (7), B Rouen (6), BB Strasbourg (6), D Lyon (5), K Bordeaux (6), MA Marseille (6) et W Lille (6)


Titulature avers : NAPOLEON III EMPEREUR // < millésime > // BARRE ( en petits caractères )
Description avers : tête nue de Napoléon III à gauche, monnaie signée en petits caractères sous le cou : BARRE.

Titulature revers : EMPIRE FRANÇAIS // *DIX CENTIMES* // < atelier de fabrication >
Description revers : aigle debout de face sur un foudre, les ailes ouvertes, la tête tournée à droite. Au-dessous figure l'atelier de gravure.



- poids : 9,47 g - ( référence : 10,00 g)
- diamètre : 30,17 mm - ( référence : 30,00 mm )
- épaisseur : 1,73 mm
- tranche : lisse
- date : 1853
- matière : bronze ( 95% de cuivre + 4% d'étain + 1% de zinc )
- Empereur : Napoléon III ( 1852–1870 )
- artiste graveur : Jean-Jacques Barre ( 1793-1855 ) - différent : tête de chien, grande oreille à gauche du millésime
- Graveur général : Désiré-Albert Barre de 1855 à 1878
- Directeur d'Atelier : Ernest Dumas ( 1853 - 1857 ) - différent : marteau et pic entrecroisés à droite du millésime
- atelier de gravure : B ( Rouen )
- début de fabrication : 02 décembre 1852
- retrait : loi du 31 octobre 1934
- tirage : 3.545.922 exemplaires pour la 10 centimes 1853 B
- démonétisation : 1er janvier 1935


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=> Un demi-sol LOUIS XV à la tête âgée de 1768 :


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XVIIIe siècle, siècle des lumières, monnaie royale de Louis XV, dynastie des Bourbons.

Historique :
Louis XV dit le « Bien-Aimé », né à Versailles le 15 février 1710 et mort le 10 mai 1774 dans la même ville, est un roi de France et de Navarre. Membre de la Maison de Bourbon, il règne sur le royaume de France du 1er septembre 1715 au 10 mai 1774.
Louis XV était le fils de Louis, duc de Bourgogne, et de Marie-Adélaïde de Savoie. Il succéda à son arrière-grand-père Louis XIV en 1715, en raison du décès prématuré de son grand père, le Grand Dauphin, et de son père. Pendant la minorité du roi, la régence revint à Philippe, duc d'Orléans, neveu de Louis XIV. Majeur, Louis XV fut sacré à Reims en 1722. Louis XV et Louis XVI n'avaient pas l'aura de leur aïeul : ils flottaient dans cet habit de gloire trop ample pour eux. Le règne de Louis XV a été pour la France une ère de prospérité et de développement économique, en même temps que celui d'une extrême floraison des arts, des lettres et des sciences.
De Marie Leczynska, épousée en 1725, Louis XV eut un fils, Louis, né en 1729, qui mourut en 1765, laissant lui-même trois fils : les futurs Louis XVI, Louis XVIII et Charles X.

Commentaires à propos de ce type monétaire :
Le demi sol Louis XV à la tête âgée a été frappé de 1768 à 1774.
Le "Sol" ( ou "Sou" ) est le nom porté par différentes monnaies, de compte ou de règlement, de l'antiquité à nos jours. Le nom trouve son origine dans le solidus. Il faisait partie du système monétaire de l’ancien régime. Le système monétaire des 17ème et 18ème siècles était basé sur un système duodécimal de monnaie de compte (système de numération en base 12). Bien que très complexe pour la population rurale et analphabète que fut celle de la France féodale et post moyenâgeuse, ce système a traversé les siècles pendant plus de 1000 ans.
Les unités de base étaient la livre, le sol et le denier, ces deux dernières étant des subdivisions de la livre : 20 sols équivalent à une livre, 12 deniers font un sol (donc 1 livre = 20 sols = 240 deniers). D’autres pièces ont existé, comme l’écu ou le louis, mais celles-ci représentaient toujours une somme en livres et subdivisions. Ces monnaies de métal fin voyaient leur cours fluctuer au fil des ans : un louis d’or de 1720 avait une valeur différente d’un louis d’or de 1722.
Le salaire moyen d'un ouvrier était d'environ 20 sols en 1670, 25 ou 30 en 1789.

Globalement :
Pour le demi-sol Louis XV, cela représente :
- 56 types monétaires
- 7 980 822 monnaies produites de 1767 à 1774
- 48 778 Kg de cuivre

Ateliers de frappe et nombre de types monétaires ( années ) :
Ils étaient situés à : A Paris (7 types monétaires), AA Metz (6), CC Besançon (4), D Lyon (6), I Limoges (6), N Montpellier (5), S Reims (4), W Lille (6), BB Strasbourg (5), V Troyes (3), H La Rochelle (3) et M Toulouse (1).


Avers : LUDOV. XV. // D. GRATIA (Louis XV, par la grâce de Dieu)
Description avers : Tête âgée de Louis XV à droite.

Revers : .FRANCIÆ. ET // < atelier de gravure > // NAVARR. REX // < date > (roi de France et de Navarre)
Description revers : Écu de France fleurdelisé par trois fleurs de lys et couronné.


- poids : 5,41 g - ( référence : 6,10 g)
- diamètre : 25,71 mm - ( référence : 25,00 mm )
- épaisseur : 1,41 mm - ( référence : 1,60 mm )
- tranche : lisse
- matière : cuivre
- date : 1768
- Roi de France : Louis XV
- artiste graveur : Norbert-Charles Roëttiers de 1753 à 1772
- Graveur général : Norbert-Charles Roëttiers de 1753 à 1772
- atelier de gravure : A ( Paris )
- Maître graveur : différent de type "cœur" sous le cou à l'avers pour Cyprien Sabatier (1735-1775)
- Losange avant le millésime au revers = Esprit Charles Marie Jacques Cabassole (1767-1774)



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=> Un double tournois (type 8) de Gaston d'Orléans, 1636 - Principauté de Dombes :


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Monnaie féodale.

Historique :
Gaston (1608-1660) est le troisième fils d'Henri IV et de Marie de Médicis. Il reçoit le titre de duc d'Orléans après la mort de son frère Nicolas en 1611. Il est fiancé la même année à la fille du duc Henri de Bourbon-Montpensier qu'il épouse en 1626. Elle meurt en 1627 en mettant au monde une petite fille, Anne Marie Louise d'Orléans (1627-1693), la future Grande Mademoiselle. Gaston est usufruitier pour sa fille jusqu'à la période 1650-1657. C'est un conspirateur né. Il soutient d'abord sa mère dont il est le fils préféré contre son frère Louis XIII. Il rentre en grâce en 1625, mais participe encore à la journée des Dupes en 1630. Il est obligé de quitter le royaume, se réfugie en Lorraine et complote avec le duc Charles IV dont il épouse la sœur, Marguerite de Lorraine (1615-1672), en 1632 et dont il aura trois filles. Louis XIII envahit la Lorraine et casse ce mariage. À la fin du règne de Louis XIII, il se réconcilie avec son frère après la mort de Richelieu. Après la mort de Louis XIII, il va être un des principaux acteurs de la Fronde entre 1645 et 1654. Il rentre en grâce après 1657, rend les Dombes à sa fille et meurt en 1660 en laissant ses collections à son neveu, Louis XIV.

Commentaires à propos de ce type monétaire :
On trouve pour Gaston d'Orléans quelques monnaies de prestige en or, un grand écu blanc d'argent, ainsi que de nombreux douzains, mais surtout, quantité de monnaies de cuivre ou de billon, deniers, doubles tournois et liards.


Titulature avers : + GASTON VSVE DE LA SOV DOM ( Buste drapé à l'antique à droite )
Description avers : Tête nue à droite de Gaston d'Orléans, < lettre de l'atelier > sous le buste

Titulature revers : + DOVBLE TOVRNOIS 1636
Description revers : Trois lis posés 2 et 1 sous un lambel à trois pendants (Orléans).



- poids : 1,97 g
- diamètre : 20,55 mm
- épaisseur : 0,92 mm
- tranche : lisse
- matière : cuivre
- date : 1636
- roi de France : Louis XIII ( 14 mai 1610 - 14 mai 1643 )
- Graveur général : Jean Darmand, dit l'Orphelin, de 1630 à 1646
- atelier de gravure : Atelier de Trévoux


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=> Une un centime Dupré, l'An 7 de la République ( 1799 ) :


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Monnaie de La 1ère République, période de la Révolution française (1789-1799), époque du Directoire

Historique :
Première République (1792-1804)
Le 21 septembre 1792, en pleine Révolution française, les députés de la Convention, réunis pour la première fois, décident à l'unanimité de l'abolition de la royauté. Le 22 septembre 1792, la décision est prise de dater les actes de l'an I de la République et le 25 septembre 1792, la République est déclarée "une et indivisible".

La Première République passe par trois formes de gouvernement, mais aucune ne connait, à proprement parler, de "président de la République" :
- La Convention, entre le 21 septembre 1792 et le 26 octobre 1795, incluant la période dite de la Terreur (1793-1794), durant laquelle l'essentiel du pouvoir réside dans le Comité de salut public dominé par les Montagnards (6 avril 1793 - 27 juillet 1794). La chute de Robespierre, le 8 thermidor de l'An II (26 juillet 1794), amène à la fin de la Terreur.
- Le Directoire, entre le 26 octobre 1795 et le 9 novembre 1799, fondé par la Constitution de l'an III. L'homme clef du Directoire est Paul Barras.
- Le Consulat, entre le 10 novembre 1799 et le 18 mai 1804. Issu du Coup d'État du 18 brumaire et défini par la Constitution de l'an VIII. Napoléon Bonaparte est Premier consul.

La Première République prend fin lors de la proclamation de Napoléon Bonaparte comme « empereur des Français » le 18 mai 1804.


Commentaires à propos de ce type monétaire :
C'est la première pièce de un centime de franc qui a été créée. Cette monnaie plutôt commune, est assez bien frappée dans l'ensemble. Elle se trouve facilement en tout état de conservation. Les "UN CENTIME" de Dupré seront énormément frappés, mais à Paris uniquement. La frappe se poursuivra en l'AN8 sous le Consulat.
Il existe de nombreuses variétés :
- Le revers et l'avers peuvent présenter 36, 53, 52 ou 49 perles longeant la tranche.
- Plusieurs variétés liées à la date, à la légende ou même aux marques d'ateliers.

Globalement :
Pour la un centime Dupré, cela représente :
- 3 types monétaires gravés de l'AN 6 ( 1798 ) à l'AN 8 ( 1800 )
- 100.083.259 monnaies produites
- 1.000.833 francs

Atelier monétaire :
Cette monnaie n'a été frappée qu'à Paris ( A ) pour trois types monétaires.

Titulature avers : REPUBLIQUE FRANÇAISE
Description avers : Tête de la République aux cheveux longs à gauche, coiffée d'un bonnet phrygien ; au-dessous Dupré en cursif encadré de points ; grènetis circulaire formé de points.

Titulature revers : UN / CENTIME / L'AN <année de la révolution> / <atelier monétaire>
Description revers : Légende en deux lignes dans le champ, au-dessus de L'AN 7, suivi d'un point, la lettre d'atelier A sous le millésime ; grènetis circulaire formé de points.



- poids : 2,08 g - ( référence : 2.00 g)
- diamètre : 17,74 mm - ( référence : 18,00 mm )
- épaisseur : 1,10 mm
- tranche : lisse
- matière : cuivre
- date : l'AN 7 de la République ( 1799 )
- Chef de Directoire : Paul Barras ( 30 juin 1755 - 29 janvier 1829 )
- artiste graveur : Augustin Dupré de l'An IV à l'An XI
- Graveur général : Augustin Dupré de l'An IV à l'An XI
- atelier de gravure : A ( Paris )
- Maître d'Atelier : Charles-Pierre de l'Espine ( différent de type coq à droite du millésime )
- lancement : 24 octobre 1796
- tirage : 48.778.486 exemplaires pour la version l'An 7 (1799) / A
- retrait : 12 mars 1856
- démonétisation : 1er octobre 1856




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=> Un bouton de l'Artillerie de marine ou de demi-brigade de canonniers de marine :


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Époque : L'époque doit se situer au premier empire / révolution ( attache lanterne ou pontet ), mais je ne m'explique pas l'absence du bonnet phrygien en lieu et place de l'anneau sommital de l'ancre.

Mon soucis avec ce bouton de l'artillerie de la marine ou bien des canonniers de la marine :
- Je trouve ce bouton avec la titulature REPUBLIQUE FRANCAISE, mais l'ancre est coiffée d'un bonnet phrygien et non pas d'un anneau...
- Je trouve également ce bouton avec une ancre coiffée d'un anneau ( c'est mon cas ici ), mais la titulature précise non pas REPUBLIQUE FRANCAISE, mais le nom du régiment ou du bataillon...

=> Mon bouton est donc une synthèse des deux types : anneau et REPUBLIQUE FRANCAISE, donc une variante...


Historique :
L’artillerie de marine est une spécialité, au même titre que l'infanterie de marine, des troupes de marine françaises.
L'artillerie de marine apparaît en 1645. Néanmoins, sa création officielle date du 16 février 1692, quand deux compagnies voient le jour à Brest et Toulon. Une troisième est créée à Rochefort en 1694. En 1761, il existe neuf brigades d'artillerie de la marine à terre. En 1769, sous l'impulsion du chevalier de Fautras, major du port de Brest, est constitué le Corps royal d'artillerie de la marine qui comprend alors neuf brigades. En 1784, il devient le Corps royal de l'artillerie des colonies. En 1786, on voit apparaître un "corps royal des canonniers matelots".
Sous la révolution française, la marine est dotée en 1792 de deux régiments d'artillerie : le 1er, stationné à Brest, et le 2ème, basé à Toulon. L'artillerie de marine joue un rôle prépondérant dans toutes les campagnes sur mer, mais aussi sur terre. En 1795, le corps est réparti en sept demi-brigades à trois bataillons, il est alors constitué des bataillons d'outre-mer. En 1803, les demi-brigades sont remplacées par quatre régiments, le 1er (Brest), le 2ème (Gênes, Brest et Toulon), le 3ème (Rochefort) et le 4ème (Lorient). Ils constituent la base de toute l'organisation jusqu'en 1900.
Le 9 novembre 1804, l'artillerie de marine est réorganisée et prend le titre de "Corps impérial". De 1804 à 1808, toutes les troupes de marine présentes dans les colonies françaises sont rapatriées en France et envoyées dans des ports. Elles y sont instruites au service de l'infanterie et de l'artillerie. Le 29 janvier 1812, Napoléon Ier décrète que l'effectif des régiments d'artillerie de marine passe de 150 à 250 hommes. En 1812, treize de leurs officiers prennent part à la campagne de Russie, et au début de l'année 1813, les artilleurs de marine sont mis à la disposition du ministère de la Guerre.

Inscriptions avers : REPUBLIQUE FRANCAISE

Inscriptions revers : pas d'inscription

Description : Ancre de marine sans corde et coiffée d'un anneau, par-dessus deux canons croisés ; De part et d'autres de l'ancre : REPUBLIQUE FRANCAISE ; Un cercle doublé d'un grènetis en bordure.


- type : bouton militaire de la marine
- forme : plat
- accroche : croisillons massif
- poids : 2,34 g
- diamètre : 17,03 mm
- épaisseur : 1,28 mm ( sans l'attache )
- matière : bronze


:)
Dernière modification par JPR le 08 déc. 2015, 02:42, modifié 5 fois.
 #1068273  par JPR
 
Bonsoir Notre Crane Ancestral :hello: , merci pour ta visite et tes commentaires :super:

Le Gastounet, c'était une vil crapule opportuniste qui retournait facilement sa veste ! :hehe:

Le bouton des artilleurs de marine ( variante ) était vraiment dans un bel état de conservation et avec une belle patine, ce qui est plutôt rare. Je n'ai eu juste qu'à le rincer à l'eau et à le passer à la cire d'antiquaire pour une bonne conservation et pour lui donner un bel éclat. Rien de plus.
J'aime beaucoup ce bouton... bouton qui me laisse bien perplexe pour son identification, comme je l'ai précisé dans le texte du post de présentation.

Quant au centime Dupré, c'est mon premier. C'est un coup de cœur :coeur: J'adore ces petits module et plus généralement les monnaies de l'époque révolutionnaire.
N'en ayant encore point, j'aimerai beaucoup trouver son digne successeur : le centime Napoléon III ( si possible en bon état ). Le hasard de mes ballades de loisir, détecteur en main, me permettront sans doute un jour de tomber sur ce centime Napoléon III, j'ai bon espoir. Ces petits modules, circulant peu, sont peu fréquents malheureusement...