Je viens d'être contacté par des confrères qui sont à la fois détectoristes à leurs heures, mais surtout amateurs d'histoire et d'archéologie.
Ces échanges ne sont pas sans intérêt en cette nouvelle année ,quant à la survie de notre patrimoine commun, l'échange fut houleux et les même arguments reflétant tous les articles postés ça et là sur le net.
Les réponses sont unanimes dans l 'esprits d'individus ayant abondés dans l'officialisation de leurs passions qui est avant tout, la protection et la vulgarisation du patrimoine au travers de journaux de bord, par des rapports d'activités, publications sur bulletins associatifs, administratif et locaux et bien sur la collaboration que certains d'entres-nous, défendent ici et sur certains fora non commerçants.
La réaction ne s'est pas fait attendre, pourquoi continuer à défendre ce qui nous est cher, c'est à dire notre patrimoine qui est menacé de jour en jour par l'urbanisation galopante et par le pillage qui nous est reprochés injustement malgré les contacts avérés suscités par l'amateurisme laissé pour compte avec des correspondances administratives sans réponse.
Tous sont unanimes et explicites, il manque de bras, disons de gens de bonne volonté, qui peuvent compléter l'intervention à pied d'œuvre, chose qui manque cruellement à l'archéologie aujourd'hui.
Le challenge est simple à comprendre, si notre ministère continue à faire la sourde oreille alors qu'il y a en bas des administrés de bonne volonté qui souhaitent se constituer garant de notre patrimoine et de notre mémoire alors qu'il subsistera toujours des pillages très organisés malgré un durcissement de la loi actuelle, il ne sera plus possible de freiner un certain esprit justicier qui est légitime puisque beaucoup à ce jour ont supporté la réforme de l'archéologie préventive, alors qu'ils étaient possesseurs d'autorisations administratives maintenant privées de toutes correspondances émanant de l'administration.
Que subsistera t'il de tous les rapports d'activités de bénévoles ayant toujours abondés dans le sens de l'archéologie ?
Qu'adviendra t'il de tous les échanges bénéfiques depuis ces dernières décennies entre passionnés et scientifiques, est -ce que l'******* et le ministère principalement pour ce dernier est capable de nous répondre et d'évaluer la perte richissime qui dort dans des tiroirs de particuliers, d'agriculteurs, possesseurs terriens, amateurs ? , Non, cela est commensurable par rapport aux attaques sans fondements perpétuées par nos détracteurs contre l'amateurisme possesseur visuel du terrain.
L'amateur et l'autochtone ont la connaissance du terroir patrimonial local, de sa vie passée au travers de ses connaissances viscérales, choses que nos détracteurs ne pourront jamais acquérir, tant ils entretiennent la méprise au plus haut point condamnant ce qu'il subsiste aujourd'hui d'amateurs et d'associations de détectoristes souhaitant se rapprocher de la sauvegarde de notre patrimoine commun.
Il fut conservé jalousement des données archéologiques encore non dévoilé suite à de non-confirmations en prospections systématiques, qui maintenant ne sont plus autorisée par l'administration, corollaires à toutes les déclarations individuelles, associatives, fédératrices (FNUDEM.). Ces déclarations en attente d'une entente cordiale entre une entité fédératrice et le ministère sont plus que jamais une ordonnance émanent du peuple légitime face aux prescriptions mensongères de nos détracteurs.
Qu'adviendra t'il de tous les constats provenant d'amateurismes d'après vous et bien ils seront tout simplement et par dépit divulgués sur Internet et mis en pâture aux pilleurs impunément déjà connus, protèges par nos institutions et la bêtise humaine atteinte de nombrilisme aiguë, dont je ne souhaite pas faire l'éloge, tant elle est méprisable par son dictionnaire décadent.
Bonne année à vous
ære perennius.
Ces échanges ne sont pas sans intérêt en cette nouvelle année ,quant à la survie de notre patrimoine commun, l'échange fut houleux et les même arguments reflétant tous les articles postés ça et là sur le net.
Les réponses sont unanimes dans l 'esprits d'individus ayant abondés dans l'officialisation de leurs passions qui est avant tout, la protection et la vulgarisation du patrimoine au travers de journaux de bord, par des rapports d'activités, publications sur bulletins associatifs, administratif et locaux et bien sur la collaboration que certains d'entres-nous, défendent ici et sur certains fora non commerçants.
La réaction ne s'est pas fait attendre, pourquoi continuer à défendre ce qui nous est cher, c'est à dire notre patrimoine qui est menacé de jour en jour par l'urbanisation galopante et par le pillage qui nous est reprochés injustement malgré les contacts avérés suscités par l'amateurisme laissé pour compte avec des correspondances administratives sans réponse.
Tous sont unanimes et explicites, il manque de bras, disons de gens de bonne volonté, qui peuvent compléter l'intervention à pied d'œuvre, chose qui manque cruellement à l'archéologie aujourd'hui.
Le challenge est simple à comprendre, si notre ministère continue à faire la sourde oreille alors qu'il y a en bas des administrés de bonne volonté qui souhaitent se constituer garant de notre patrimoine et de notre mémoire alors qu'il subsistera toujours des pillages très organisés malgré un durcissement de la loi actuelle, il ne sera plus possible de freiner un certain esprit justicier qui est légitime puisque beaucoup à ce jour ont supporté la réforme de l'archéologie préventive, alors qu'ils étaient possesseurs d'autorisations administratives maintenant privées de toutes correspondances émanant de l'administration.
Que subsistera t'il de tous les rapports d'activités de bénévoles ayant toujours abondés dans le sens de l'archéologie ?
Qu'adviendra t'il de tous les échanges bénéfiques depuis ces dernières décennies entre passionnés et scientifiques, est -ce que l'******* et le ministère principalement pour ce dernier est capable de nous répondre et d'évaluer la perte richissime qui dort dans des tiroirs de particuliers, d'agriculteurs, possesseurs terriens, amateurs ? , Non, cela est commensurable par rapport aux attaques sans fondements perpétuées par nos détracteurs contre l'amateurisme possesseur visuel du terrain.
L'amateur et l'autochtone ont la connaissance du terroir patrimonial local, de sa vie passée au travers de ses connaissances viscérales, choses que nos détracteurs ne pourront jamais acquérir, tant ils entretiennent la méprise au plus haut point condamnant ce qu'il subsiste aujourd'hui d'amateurs et d'associations de détectoristes souhaitant se rapprocher de la sauvegarde de notre patrimoine commun.
Il fut conservé jalousement des données archéologiques encore non dévoilé suite à de non-confirmations en prospections systématiques, qui maintenant ne sont plus autorisée par l'administration, corollaires à toutes les déclarations individuelles, associatives, fédératrices (FNUDEM.). Ces déclarations en attente d'une entente cordiale entre une entité fédératrice et le ministère sont plus que jamais une ordonnance émanent du peuple légitime face aux prescriptions mensongères de nos détracteurs.
Qu'adviendra t'il de tous les constats provenant d'amateurismes d'après vous et bien ils seront tout simplement et par dépit divulgués sur Internet et mis en pâture aux pilleurs impunément déjà connus, protèges par nos institutions et la bêtise humaine atteinte de nombrilisme aiguë, dont je ne souhaite pas faire l'éloge, tant elle est méprisable par son dictionnaire décadent.
Bonne année à vous
ære perennius.
