Bonjour à toutes et tous
Je me situe rapidement, 55 ans, du Centre, du Cher et plus précisément de Bourges.
Nouveau et déjà passionné par ce loisir, je viens d’effectuer mes premiers pas dans la nature pour y entendre chanter mon premier appareil, en l’occurrence un Ace 250 reçu tout dernièrement.
Les quelques essais effectués auparavant avec un appareil de prêt, à savoir un Bothoa 700 (marque Française ayant existé de 1976 à 1983) de 1980 bien que principalement destiné à détecteur les « plaques d’égouts » :? , m’ont donné un avant goût de la détection.
Disposant de deux disques, celui de série - 16X22 – et d’un optionnel -22 X 30 – je choisis de débuter avec ce dernier. Pourquoi ? De toute façon il faut bien débuter avec l’un d’eux. Est-ce le bon choix ?
Donc ma première sortie a eu lieu en bordure d’un ancien petit ruisseau désormais asséché, sur une commune voisine de Bourges. L’endroit relativement fréquenté par nos contemporains, à la recherche d’un lieu isolé, est quelque peu pollué et de multiples extractions n’auront pour effet que l’inhumation de petits sachets qui, bien qu’estampillés « Durex » n’ont rien à voir avec la Grèce antique.
En m’éloignant un peu de l’axe principal, là où le bruit du rut se rapproche plus de celui du cerf que de l’humain, je constate une nette amélioration. Est-ce à dire que ces chers animaux copuleraient sans protection, je n’ose le croire !!.
Les bips se font moins nombreux mais je dois reconnaître que je ne maîtrise pas encore mon détecteur et ne parvient pas à faire de réelles différences entre les sons. Je ne dois pas avoir l’oreille très musicale. Enfin, le cadran est là pour m’aider à discriminer à quoi les sons émis sont susceptibles de correspondre.
Ce qui me surprend le plus doit correspondre à ce que les connaisseurs nomment « effet de sol ». Est-il normal avec ce type d’appareil de percevoir un seul son, sans retour mais au même endroit (constaté plusieurs fois)ou alors deux sons mais différents et « bien entendu » deux marquages différents sur le curseur ?
Si je me réfère aux témoignages du forum il semble que l’aluminium soit notre principal ennemi. Je confirme pour avoir creusé maintes fois sur des petits morceaux d’aluminium pratiquement invisibles et donnant des sons dignes d’un coffre fort. A ce sujet, l’Ace 250 m’a permis, avec une sensibilité réduite au premier quart, de détecter une boîte (malheureusement vide) située à 50 cm sous terre et je reste persuadé que même à 1 m cette présence aurait été détectée de la même façon. Mon outil de terrassement, une pelle US, me donne pour l’heure pleine satisfaction.
Ces deux premières sorties me laissent dubitatif. Fervent admirateur du forum et notamment des rubriques détections et vidéos, je reste en effet pantois devant les multiples découvertes effectuées dans de « vulgaires » champs de labour ou dans des bois. Tout me paraît à la fois trop compliqué et trop simple. Trop compliqué car comment détecteur LE BON SITE alors que la nature regorge de lieux identiques. Faut-il nécessairement procéder à des investigations poussées (historique du lieu, cartes, …) ou se contenter du hasard qui nécessairement conduit à de telles trouvailles. Trop simple : certains sites du fait de leur histoire sont ils plus sujets à la détection. Attention, il ne s’agit pas d’une déception quant à mes premières sorties, je reste conscient, tant du potentiel de mon appareil que de la région où je compte assouvir ma passion. Bourges et ses environs me semblent propices à de belles découvertes. Si certains d’entre vous peuvent quand même me rassurer je les remercie par avance.
Bon, le bilan de mes deux premières sorties :
- D’innombrables pièces en aluminium que je suppose être des bagues destinées au marquage de la volaille ? (photo 1)
- Quelques monnaies contemporaines 5 cts € ou 20 cts de Francs, clous, anneau, sardine alu (photo 2) ;
- Un genre de bouchon, partie bronze, partie ferraille (photo 3) ;
- Un plomb ayant la particularité d’être «chanfreiner » sur sa partie inférieure (photo 4) ;
- Une pièce en aluminium, probablement un petit carter ou cache de ??? (photo 5) ;
- Un Napoléon III bronze 1855 que j’aurais dû laisser dans son jus (photo 6) ;
- Une médaille souvenir d’un concours de musique de 1888 à Sancerre (photo 7).
Donc, beaucoup de progrès à effectuer, tant en matière de sélectivité de mes merdouilles que de recherche des bons lieux à visiter.
En espérant ne pas vous avoir importuné avec mon premier ressenti ce cette nouvelle passion.
Bonne fin de semaine à toutes et tous, dans l'attente de visionnner vos vidéos et lire vos comptes-rends de sorties. Merci.










Je me situe rapidement, 55 ans, du Centre, du Cher et plus précisément de Bourges.
Nouveau et déjà passionné par ce loisir, je viens d’effectuer mes premiers pas dans la nature pour y entendre chanter mon premier appareil, en l’occurrence un Ace 250 reçu tout dernièrement.
Les quelques essais effectués auparavant avec un appareil de prêt, à savoir un Bothoa 700 (marque Française ayant existé de 1976 à 1983) de 1980 bien que principalement destiné à détecteur les « plaques d’égouts » :? , m’ont donné un avant goût de la détection.
Disposant de deux disques, celui de série - 16X22 – et d’un optionnel -22 X 30 – je choisis de débuter avec ce dernier. Pourquoi ? De toute façon il faut bien débuter avec l’un d’eux. Est-ce le bon choix ?
Donc ma première sortie a eu lieu en bordure d’un ancien petit ruisseau désormais asséché, sur une commune voisine de Bourges. L’endroit relativement fréquenté par nos contemporains, à la recherche d’un lieu isolé, est quelque peu pollué et de multiples extractions n’auront pour effet que l’inhumation de petits sachets qui, bien qu’estampillés « Durex » n’ont rien à voir avec la Grèce antique.
En m’éloignant un peu de l’axe principal, là où le bruit du rut se rapproche plus de celui du cerf que de l’humain, je constate une nette amélioration. Est-ce à dire que ces chers animaux copuleraient sans protection, je n’ose le croire !!.
Les bips se font moins nombreux mais je dois reconnaître que je ne maîtrise pas encore mon détecteur et ne parvient pas à faire de réelles différences entre les sons. Je ne dois pas avoir l’oreille très musicale. Enfin, le cadran est là pour m’aider à discriminer à quoi les sons émis sont susceptibles de correspondre.
Ce qui me surprend le plus doit correspondre à ce que les connaisseurs nomment « effet de sol ». Est-il normal avec ce type d’appareil de percevoir un seul son, sans retour mais au même endroit (constaté plusieurs fois)ou alors deux sons mais différents et « bien entendu » deux marquages différents sur le curseur ?
Si je me réfère aux témoignages du forum il semble que l’aluminium soit notre principal ennemi. Je confirme pour avoir creusé maintes fois sur des petits morceaux d’aluminium pratiquement invisibles et donnant des sons dignes d’un coffre fort. A ce sujet, l’Ace 250 m’a permis, avec une sensibilité réduite au premier quart, de détecter une boîte (malheureusement vide) située à 50 cm sous terre et je reste persuadé que même à 1 m cette présence aurait été détectée de la même façon. Mon outil de terrassement, une pelle US, me donne pour l’heure pleine satisfaction.
Ces deux premières sorties me laissent dubitatif. Fervent admirateur du forum et notamment des rubriques détections et vidéos, je reste en effet pantois devant les multiples découvertes effectuées dans de « vulgaires » champs de labour ou dans des bois. Tout me paraît à la fois trop compliqué et trop simple. Trop compliqué car comment détecteur LE BON SITE alors que la nature regorge de lieux identiques. Faut-il nécessairement procéder à des investigations poussées (historique du lieu, cartes, …) ou se contenter du hasard qui nécessairement conduit à de telles trouvailles. Trop simple : certains sites du fait de leur histoire sont ils plus sujets à la détection. Attention, il ne s’agit pas d’une déception quant à mes premières sorties, je reste conscient, tant du potentiel de mon appareil que de la région où je compte assouvir ma passion. Bourges et ses environs me semblent propices à de belles découvertes. Si certains d’entre vous peuvent quand même me rassurer je les remercie par avance.
Bon, le bilan de mes deux premières sorties :
- D’innombrables pièces en aluminium que je suppose être des bagues destinées au marquage de la volaille ? (photo 1)
- Quelques monnaies contemporaines 5 cts € ou 20 cts de Francs, clous, anneau, sardine alu (photo 2) ;
- Un genre de bouchon, partie bronze, partie ferraille (photo 3) ;
- Un plomb ayant la particularité d’être «chanfreiner » sur sa partie inférieure (photo 4) ;
- Une pièce en aluminium, probablement un petit carter ou cache de ??? (photo 5) ;
- Un Napoléon III bronze 1855 que j’aurais dû laisser dans son jus (photo 6) ;
- Une médaille souvenir d’un concours de musique de 1888 à Sancerre (photo 7).
Donc, beaucoup de progrès à effectuer, tant en matière de sélectivité de mes merdouilles que de recherche des bons lieux à visiter.
En espérant ne pas vous avoir importuné avec mon premier ressenti ce cette nouvelle passion.
Bonne fin de semaine à toutes et tous, dans l'attente de visionnner vos vidéos et lire vos comptes-rends de sorties. Merci.












