Le jour se lève sur un épais brouillard... Autour de nous, on pouvait entendre, à peine inaudible, un bip bippbipbipbipppp étouffé, suivi de "Yes" ou "encore une merdouille" tout aussi inaudible que le bip bip.
Plus le jour pointe, plus le brouillard se dissout, et laisse déjà entrevoir une silhouette perchée dans un arbre, au bord d'un champs.
"Reinghart, Ô Reinghart, ne vois-tu rien venir?
- Non Ô puissant vizir.
- Reinghart, Ô Reinghart, ne vois-tu rien venir?
Si Ô mon puissant vizir kilav plublankeblant, je vois une nouvelle recrue avancer vers nous"
Sur ce, le puissant vizir Kilav s'avance avec sa garde et va au devant de cette recrue, canne sur l'épaule, casque autour du cou, pelle luisante au premier rayon de soleil. Il sait qu'il a affaire à un bon.
"Holà jeune paysan, ou va tu donc de si bon matin?
- Je vais, Ô noble, me présenter en ton champs, montrer canne blanche et Deus clinquant.
- Que penses-tu pouvoir nous apporter?
- Je sais cuisiner votre Honneur, et je ne rechigne pas à la tâche ! Amenez moi vos mottes (de terre et non poilues), et je vous prouverai mon attachement à nos caste de dignes héritiers de l'histoire
- Diantre quel verbage, et quel âge as tu mon ami?
- 35 ans Monseigneur, et je loge dans la non moins royale contrée des Yvelines.
- Et comment te nommes tu donc?
- Appelez moi Statoche votre Altesse, gloire aux statères de nos ancêtres les gaugau, les gaugau, les GAUGAUUU lois
- Soit donc le bienvenu parmis nous mon brave, et rejoins donc nos champs"
Voilà, Statoche avait passé son entretien, il avait fait canne blanche de bon oeil, et il pouvait désormais arpenter le champs du savoir historique avec ses déjà si nombreuses recrues
Plus le jour pointe, plus le brouillard se dissout, et laisse déjà entrevoir une silhouette perchée dans un arbre, au bord d'un champs.
"Reinghart, Ô Reinghart, ne vois-tu rien venir?
- Non Ô puissant vizir.
- Reinghart, Ô Reinghart, ne vois-tu rien venir?
Si Ô mon puissant vizir kilav plublankeblant, je vois une nouvelle recrue avancer vers nous"
Sur ce, le puissant vizir Kilav s'avance avec sa garde et va au devant de cette recrue, canne sur l'épaule, casque autour du cou, pelle luisante au premier rayon de soleil. Il sait qu'il a affaire à un bon.
"Holà jeune paysan, ou va tu donc de si bon matin?
- Je vais, Ô noble, me présenter en ton champs, montrer canne blanche et Deus clinquant.
- Que penses-tu pouvoir nous apporter?
- Je sais cuisiner votre Honneur, et je ne rechigne pas à la tâche ! Amenez moi vos mottes (de terre et non poilues), et je vous prouverai mon attachement à nos caste de dignes héritiers de l'histoire
- Diantre quel verbage, et quel âge as tu mon ami?
- 35 ans Monseigneur, et je loge dans la non moins royale contrée des Yvelines.
- Et comment te nommes tu donc?
- Appelez moi Statoche votre Altesse, gloire aux statères de nos ancêtres les gaugau, les gaugau, les GAUGAUUU lois
- Soit donc le bienvenu parmis nous mon brave, et rejoins donc nos champs"
Voilà, Statoche avait passé son entretien, il avait fait canne blanche de bon oeil, et il pouvait désormais arpenter le champs du savoir historique avec ses déjà si nombreuses recrues