hello
garde cote 1803 -1814 diemetre 23mm
L'arrêté du Gouvernement du 8 prairial an 11, contenant organisation des compagnies de canonniers gardes-côtes;
"L'uniforme comprenait un habit de drap blanc, à revers, parements et collet bleus, pattes écarlates; lisérés bleus, veste et culotte de tricot blanc; chapeau bordé de laine noire, boutons jaunes, timbrés d'une ancre, d'un canon et d'un fusil. La durée de l'habillement était de cinq ans; il ne se portait qu'aux revues et aux exerciceslol!. Comme les armes (fusil, baïonnette et giberne d'infanterie), on le déposait dans les mairies." payés 0,50 franc par jour et soumis à la discipline militaire, mais présents au corps une semaine sur deux seulement. Le service était facile, peu dangereux, et s’effectuait à proximité du domicile. Au fur et à mesure de l’extension du Grand Empire, le nombre des compagnies passera de 100 à 145, auxquelles s’ajouteront 28 puis 33 compagnies de canonniers sédentaires installées dans les îles. Les canonniers gardes-côtes sont d’anciens canonniers mis à la retraite en raison de leur âge ou de leurs infirmités . L’Empereur n’était guère satisfait de leurs services. Il écrit à son ministre de la Guerre, Clarke ; le 8 septembre 1811 : « L’inhabileté des gardes-côtes coûte à mes marins deux ou trois millions par an et à mon commerce des sommes plus considérables
@+jaz

garde cote 1803 -1814 diemetre 23mm
L'arrêté du Gouvernement du 8 prairial an 11, contenant organisation des compagnies de canonniers gardes-côtes;
"L'uniforme comprenait un habit de drap blanc, à revers, parements et collet bleus, pattes écarlates; lisérés bleus, veste et culotte de tricot blanc; chapeau bordé de laine noire, boutons jaunes, timbrés d'une ancre, d'un canon et d'un fusil. La durée de l'habillement était de cinq ans; il ne se portait qu'aux revues et aux exerciceslol!. Comme les armes (fusil, baïonnette et giberne d'infanterie), on le déposait dans les mairies." payés 0,50 franc par jour et soumis à la discipline militaire, mais présents au corps une semaine sur deux seulement. Le service était facile, peu dangereux, et s’effectuait à proximité du domicile. Au fur et à mesure de l’extension du Grand Empire, le nombre des compagnies passera de 100 à 145, auxquelles s’ajouteront 28 puis 33 compagnies de canonniers sédentaires installées dans les îles. Les canonniers gardes-côtes sont d’anciens canonniers mis à la retraite en raison de leur âge ou de leurs infirmités . L’Empereur n’était guère satisfait de leurs services. Il écrit à son ministre de la Guerre, Clarke ; le 8 septembre 1811 : « L’inhabileté des gardes-côtes coûte à mes marins deux ou trois millions par an et à mon commerce des sommes plus considérables
@+jaz
