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Faites identifier vos plombs de sac, scellés et divers objets en plomb
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 #1036672  par wilows49
 
Bonsoir.
Trouvé ce week
Poids 345grs
Diam 7cm
Ep 9mm

Je pense a un lingot pour une fonte future mais je ne suis pas certain de la matière... Cela me parait plus dur que le plomb..

Je suis dans le flou !

Une petite idée ?

Merci d avance

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 #1036702  par antonin
 
Bonjour,
vue la couleur blanche au dessus du métal cela me semble être du plomb.

il pourrait s'agir d'un bouchon d'amphore car il me semble conique
 #1036706  par fouduroi
 
Bonjour,

Il a le poids des palets utilisés pour le jeu de "palet sur route".
Il a aussi la taille des palets utilisés au nord de Caen.

Mais ça peut aussi être n'importe quoi. :)
 #1036707  par Burgonde64
 
antonin a écrit :Bonjour,
vue la couleur blanche au dessus du métal cela me semble être du plomb.

il pourrait s'agir d'un bouchon d'amphore car il me semble conique
:hello: +1 .ce"a m'y a fait pensé tout de suite en ayant déjà trouvé en archéo :)
 #1036708  par jaz29
 
hello
idée d'un palet de jeu me plait
@+jaz
 #1036710  par Burgonde64
 
jaz29 a écrit :hello
idée d'un palet de jeu me plait
@+jaz
:hello: j'y connais assez peu en palet, mais ils peuvent être ainsi bisotes sur les bords?ceux que j'ai déjà vu étaient tous à bord plat ( ce qui parerait logique pour pouvoir jouer efficacement). Désolé , mais pour ma part, je reste aussi sur l'idée du bouchon d'amphores ( plus souvent en terre cuite ou en pierre d'ailleurs)
 #1036715  par Burgonde64
 
Par contre,ce qui me chiffonne,c'est le diamètre...7 cm, cela fait un peu petit pour l'ouverture d'un col d'amphores standard ( dresser 1a en autre) qui est normalement de 13 cm environ . Du coup,...j'ai un gros doute :( :0 les bouchons que je connais sont plus épais et plus gros...
 #1036716  par Burgonde64
 
Erratum (Dressel 1a) :mrgreen: et pas dresser!( stupide ordinateur)
 #1036718  par wilows49
 
merci a tous pour vos idees .. perso je n'en avais aucune ::d
 #1036785  par levieuxrenard
 
Bonjour à toi
pas facile matiére ( je ne sais pas)
mais cela ressemble étrangement beaucoup
à un cachet en terre cuite
il peut y avoir en son milieu des fragments ( pour qu'il soit plus lourd) ;-)
soit pour garder la chaleur et l'à diminuer , donc pour éviter qu'il se casse à la chaleur :hello:
ce n'est qu'un avis personnel
une empreinte (disparue hélas) un fil , on dépose la cire , on retire
un courrier enroulé et on scelle
 #1036786  par wilows49
 
levieuxrenard a écrit :Bonjour à toi
pas facile matiére ( je ne sais pas)
mais cela ressemble étrangement beaucoup
à un cachet en terre cuite
il peut y avoir en son milieu des fragments ( pour qu'il soit plus lourd) ;-)
soit pour garder la chaleur et l'à diminuer , donc pour éviter qu'il se casse à la chaleur :hello:
ce n'est qu'un avis personnel
une empreinte (disparue hélas) un fil , on dépose la cire , on retire
un courrier enroulé et on scelle
salut vieuxrenard

la matiere est quasi certainement du plomb.
merci pour ton idee
 #1036793  par levieuxrenard
 
Bon on change carrément de direction
il y avait comme des pastilles en plomb
sur les obus , sur un gros pépére peut être
faudrait un spécialiste
 #1036797  par wilows49
 
levieuxrenard a écrit :Bon on change carrément de direction
il y avait comme des pastilles en plomb
sur les obus , sur un gros pépére peut être
faudrait un spécialiste
Ok... Ca fait beaucoup de pistes a creuser tout ça ! Mdr
En tout cas merci beaucoup pour toute ces idées :super:
 #1036804  par levieuxrenard
 
Pendant l’Antiquité, l’argile est utilisée pour sceller mais elle est cassante et friable. Ainsi au Moyen Age on trouve essentiellement des empreintes en plomb ou en cire, c’est-à-dire un mélange de cire d’abeille et de diverses substances pour durcir ou colorer davantage comme la résine ou encore la craie. Cependant au début, la cire reste de couleur naturelle et n’est colorée que par les hauts dignitaires : pour certaines chancelleries et au temps des Capétiens, le code était le suivant : sceau vert pour les actes royaux (chartes) à effet perpétuel, jaune pour les actes plus ordinaires et à effet limité, rouge pour le petit sceau secret (ou « cachet) à partir de Louis VI. On sait que ce code est en vigueur sous Philippe-Auguste. Cependant on trouve aussi d’autres couleurs : le blanc par mélange de la cire avec du plâtre est la première coloration de l’empreinte. Alors que le rouge et le vert s’obtiennent avec de l’oxyde de plomb et de cuivre, le brun avec de la poix, on trouve même des sceaux noirs. Mais ces autres colorations n’ont pas de réelles significations. La cire est à bon marché jusqu’au XIII° siècle : comme elle devient plus chère, le diamètre et l’épaisseur de l’empreinte diminuent. De plus, pour protéger le sceau qui reste toujours très fragile, on appliquait un vernis ou on le protégeait dans une boîte de bois de buis ou de métal. Au XV° siècle, la cire est même renforcée par du papier soudé.



Les autres matières de l’empreinte sont le métal pour les bulles (les empereurs byzantins utilisaient de l’or pour sceller leurs chrysobulles) ; les papes scellaient avec du plomb.

On trouve presque une vingtaine de variantes pour la forme du sceau mais deux prédominent : la forme ronde (ou ovale) qui est utilisée dès l’Antiquité à cause des anneaux sigillaires. La forme dite en navette c’est-à-dire en forme d’amande comme la mandorle du Christ, apparaît au X° et est souvent utilisée pour les sceaux ecclésiastiques, des prélats, des femmes et des communautés religieuses, car elle se prête aux représentations des personnages en pied. On trouve aussi des sceaux en forme d’écu, de losange, carré… La forme du sceau dépend plus des modes et habitudes régionales que de contraintes juridiques ou sociales. Ce concept s’applique aussi en général pour toutes les règles typologiques du sceau.

Sa taille n’est proportionnelle à la qualité du possesseur qu’à la fin du Moyen Age et varie entre 12 et 120 millimètres de diamètre. On a pu établir une constante de la taille : les grands seigneurs utilisaient parfois des sceaux plus grands que ceux des rois et ceux-ci ne cherchaient pas plus à montrer leur prestige social par la grandeur mais plutôt par le motif lui-même.

Alors que la bulle est toujours pendante, le sceau peut être apposé de différentes façons

Le sceau plaqué : plus ancien, il se pratique couramment jusqu’aux XI° et XII° siècles. C’est le plus simple, le plus résistant et le moins encombrant. On pratique une entaille cruciforme au bas du parchemin, sur un bord replié, les boulettes de cire sont appliquées de chaque côté puis l’impression est frappée avec la matrice. La brisure reste facile. Au XI° siècle, l’entaille est substituée à des bandelettes se croisant en étoiles.
Le sceau appendu dit sur queue pendante : à partir du XI° siècle, il est d’abord monté « sur simple queue de parchemin », c’est-à-dire qu’il pend à une languette découpée dans le parchemin qui passe entre les deux boulettes de cire ; puis « sur double queue de parchemin » en pratiquant deux courtes incisions dans le repli du parchemin. Il y a autant de bandelettes découpées que de sigillants.
A partir de Louis VII, apparaissent les sceaux pendants : une fente est pratiquée en bas du parchemin dans laquelle on passe des lacs (cordelettes) de chanvre tordu ou tressé, ou bien des cordelières ou des rubans de soie : on dit alors que le sceau est appendu « sur flot de soie ». Les deux extrémités des lacs pendants soudées par le sceau.
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