Une petite sortie ce matin, près de mes terres columérines, aux confins du 31 et du 32. Au milieu coule une rivière, affluent de la Garonne, souvent capricieuse l'hiver, mais depuis longtemps domestiquée par les hommes, attirés par les glaises et marnes de ses rives boisées : les tuileries y sont "légions".
Et germain, ce paysan qui nous acueille aujourd'hui, le sait bien, lui, dont quelques uns des 30 Ha de labours et de bois bordent sa rive gauche. Une grande partie de ses terres va être semée, dans les jours qui viennent. Alors, à nous le billard de ses champs bien hersés.
La tête de 27 fait des ravages. A peine le temps de se relever d'un trou qu'il faut en creuser un autre. Le bilan est là, sur la table du restaurant dans lequel nous passons la fatigue, bien réelle, plein de mystère encore de ces rondelles croutées dont l'identification n'est pas certaine.
Mais, sans attendre le retour au bercail, on peut deviner quelques bronzes romains, une boursée de Lindaueur, un gros billon, une bague, peut être antique, les napoléons de services, du "guiraud" et du "morlon", un très beau dé à coudre bien patiné et, pour une fois, pas écrasé (chance !), un bouton empire, quelques balles de mousquet et autres plombs de sac....
Va falloir trouver le temps, maintenant, de nettoyer et d'identifier toutes ces merveilles... C'est la rançon à payer, en plus de la fatigue du jour, d'avoir oser réveiller l'histoire.
Et germain, ce paysan qui nous acueille aujourd'hui, le sait bien, lui, dont quelques uns des 30 Ha de labours et de bois bordent sa rive gauche. Une grande partie de ses terres va être semée, dans les jours qui viennent. Alors, à nous le billard de ses champs bien hersés.
La tête de 27 fait des ravages. A peine le temps de se relever d'un trou qu'il faut en creuser un autre. Le bilan est là, sur la table du restaurant dans lequel nous passons la fatigue, bien réelle, plein de mystère encore de ces rondelles croutées dont l'identification n'est pas certaine.
Mais, sans attendre le retour au bercail, on peut deviner quelques bronzes romains, une boursée de Lindaueur, un gros billon, une bague, peut être antique, les napoléons de services, du "guiraud" et du "morlon", un très beau dé à coudre bien patiné et, pour une fois, pas écrasé (chance !), un bouton empire, quelques balles de mousquet et autres plombs de sac....
Va falloir trouver le temps, maintenant, de nettoyer et d'identifier toutes ces merveilles... C'est la rançon à payer, en plus de la fatigue du jour, d'avoir oser réveiller l'histoire.