Chez nous, c'était le noisetier, l'acacia et surtout le vieux sureau qui était employé.
Chaque région a son bois spécifique, selon le climat et la façon dont les essences de bois grandissent.
Sur ce coup, je suis d'accord avec Catala pour son conseil judicieux.
Quoi de mieux que d'avoir son nom, même en tout petit, ( même sans son nom, d'ailleurs), dans une vitrine de musée? Juste pouvoir dire à ses enfants : C'est moi qui l'ai trouvée, qui l'ai offerte...
Sans trop de difficultés, on t'offrira une entrée permanente. Une coutume qui arrange tout le monde, le musée et ceux qui l'alimentent.
Quelle belle revanche, tout de même, pour un détectoriste...
De plus, neuf, l'objet pouvait supporter le travail du bois, qui s'adaptait à la résistance du métal. Aussi ancien, je parierais sans risque que ce serait le bois qui aurait le dernier mot. Sinon, beaucoup d'artéfact seraient remis dans leur contexte initial, non ?
Trés belle trouvaille, néanmoins!

C'est en allant vers la mer que le fleuve respecte le mieux sa source...
C'est en déclarant ses trouvailles qu'on respecte au mieux l'Histoire...